SMKN3 Baleendah nyaĂ©ta Sakola Menengah Kajuruan Negeri anu aya di KabupatĂ©n Bandung. Alamat lengkepna di Jl. Adipati Agung No. 34 Baleendah, Kalurahan/DĂ©sa Baleendah Kacamatan Balééndah, KabupatĂ©n Bandung, Jawa Kulon kalawan nomor NPSN 20206225. Sebanyak20 siswa SMKN 3 Baleendah menerima dana pendidikan MNC Group yang diberikan langsung oleh CEO MNC Group Hary Tanoesoedibjo - 29660 - foto 0 - okezone Foto BALEENDAH Acara perpisahan siswa-siswi kelas XII-XIII SMKN 3 Baleendah dengan mengusung tema "Milenial Yang Unggul Dalam Imtaq dan Iptek, Demi Era Baru Yang Lebih Kompetitif", diadakan di Kampus SMKN 3 Baleendah, Selasa (24/05/2022). Hadir dalam acara ini diantaranya diantaranya 420 Peserta Didik Kelas XII-XIII, GTK SMKN 3 Baleendah, Kepsek SMKN 3 Baleendah Drs. Agus Seemore of SMKN 3 Baleendah on Facebook. Log In. Forgot account? or. Create new account. Not now. SMKN 3 Baleendah. School . Community See All. 878 people like this. 906 people follow this. About See All. Jl. Adipati Agung No.34 Baleendah , 40258. SMKN3 Baleendah, Baleendah. 838 likes · 6 talking about this. Akuntansi, Pertanian, dan Pemasaran Ratusansiswa SMKN 3 Baleendah, Bandung, Jawa Barat, tidak mau ketinggalan momen mengabadikan kebersamaannya dengan CEO MNC Group Hary Tanoesoedibjo. Mereka "berebut" wefie dan foto bareng dengan Hary Tanoe. dPSUQ. SMK Negeri 3 Baleendah Kab BandungAlamat Jl. Adipati Agung No. 34 Baleendah, Kec Baleendah, Kab Bandung No. Telpon 022 5944735 NPSN 20206225 Akreditasi AKompetensi Keahlian / Jurusan SMK Negeri 3 Baleendah Kab Bandung – Agribisnis Tanaman Pangan dan Hortikultura– Akuntansi dan Keuangan Lembaga– Bisnis Daring dan Pemasaran– Otomatisasi dan Tata Kelola Perkantoran– Pemuliaan dan Perbenihan TanamanPeta lokasi dan ulasan Sekolah Menengah Kejuruan SMK Negeri 3 Baleendah Kab Bandung Related postsSMK Merdeka Soreang Kab BandungSMK Yadika Soreang Kab BandungSMK Mashalihul Mursalat – Soreang Kab BandungSMK Negeri 1 Soreang Kab BandungSMK Farmasi Bhakti Kencana Soreang Kab BandungSMK PGRI 35 Solokan Jeruk Kab BandungSMK Gpi Solokanjeruk Kab BandungSMK Bhakti Kencana Majalaya – Solokanjeruk Kab BandungSMK Informatika Dienul Islam – Solokanjeruk Kab Bandung NOTRE MISSIONmission Une mission aux multiples facettes La SociĂ©tĂ© nationale des QuĂ©bĂ©coises et QuĂ©bĂ©cois de LanaudiĂšre est le seul organisme rĂ©gional non partisan — c’est-Ă -dire sans attache avec un parti politique — dĂ©diĂ© Ă  la promotion de la fiertĂ© nationale et de l’identitĂ© quĂ©bĂ©coise. GrĂące aux revenus gĂ©nĂ©rĂ©s par les services qu’elle offre Ă  ses membres et Ă  la population, et sans subvention gouvernementale aucune — sauf pour la FĂȘte nationale —, la SNQ de LanaudiĂšre rĂ©alise de nombreuses activitĂ©s qui rĂ©pondent aux diffĂ©rents volets de sa mission dans la communautĂ©. Une mission que la SNQL veut voir Ă©voluer en accord avec ses membres, parce que 
 la SociĂ©tĂ© est et sera ce que ses membres voudront qu’elle soit.» Yvon Blanchet, prĂ©sident du En plus d’oeuvrer rĂ©gionalement, la SNQ de LanaudiĂšre est membre Ă  part entiĂšre d’un vĂ©ritable rĂ©seau de la fiertĂ© quĂ©bĂ©coise le Mouvement national des QuĂ©bĂ©coises et QuĂ©bĂ©cois MNQ. Celui-ci rejoint plus de 200 000 membres, regroupĂ©s dans 19 SociĂ©tĂ©s nationales et SociĂ©tĂ©s Saint-Jean-Baptiste Ă  la fois solidaires dans leurs actions communes et riches de leurs particularitĂ©s rĂ©gionales. Ainsi, dans LanaudiĂšre, la SNQ cible essentiellement 3 objectifs 1. La promotion et la dĂ©fense de la langue française La SNQ de LanaudiĂšre demeure Ă  ce jour la plus ardente promotrice de la langue française dans la rĂ©gion. Elle persiste ainsi Ă  valoriser une langue Ă  la fois vivante et correcte qui reflĂšte bien la rĂ©alitĂ© quĂ©bĂ©coise francophone. Pour ce faire, la SNQL organise diverses manifestations oĂč le français est Ă  l’honneur, comme pour l’activitĂ© des Haut-Parleurs, ou les dictĂ©es rĂ©gionales; remet des prix d’excellence en français, tels que le Prix Louis-Landry et le Prix de la fiertĂ© CĂ©geps en spectacles; rĂ©dige des mĂ©moires, notamment sur l’enseignement du français et des langues secondes, afin de sensibiliser la population et les instances concernĂ©es. Et parce qu’il est nĂ©cessaire d’assurer la pĂ©rennitĂ© du français pour conserver au QuĂ©bec son caractĂšre identitaire distinct, la SNQL continuera assurĂ©ment de s’opposer Ă  toute tentative juridique visant Ă  dĂ©tourner la Loi 101 de ses objectifs essentiels. 2. La promotion de la culture, de l’histoire et des traditions quĂ©bĂ©coises La culture et l’histoire d’un peuple sont les Ă©lĂ©ments fondateurs de son identitĂ©. Outre la langue qui est certes le noyau dur de notre culture, de nombreuses composantes gravitent autour pour former un tout cohĂ©rent. Le champ d’activitĂ© culturelle comporte donc plusieurs aspects, sur lesquels la SNQL intervient afin de les promouvoir ou de les soutenir Le patrimoine historique, architectural, religieux; Les arts visuels ou de la scĂšne; La littĂ©rature et l’édition; L’éducation, etc. Dans ce cadre, la SNQL coordonne ou organise de nombreuses activitĂ©s ou y collabore comme pour la FĂȘte nationale, le jour du drapeau, les JournĂ©es de la culture, la Brunante aux flambeaux, ou la FĂȘte des Patriotes Ă  St-Denis-sur-Richelieu; a créé deux prix qui soulignent spĂ©cifiquement l’excellence en ce domaine le Prix des arts Max Boucher et la reconnaissance du MĂ©rite en histoire; apporte un soutien Ă  des organismes ou Ă©vĂ©nements culturels 3. La promotion de la rĂ©gion de LanaudiĂšre Promouvoir notre rĂ©gion c’est d’abord mieux la faire connaĂźtre Ă  nos concitoyens, avant de la faire rayonner Ă  l’extĂ©rieur de nos frontiĂšres. Pour ce faire, la SNQL s’emploie Ă  mettre en lumiĂšre les individus, les groupes ou associations du milieu, les entreprises et sociĂ©tĂ©s commerciales, qui se dĂ©marquent et donnent une couleur particuliĂšre Ă  notre rĂ©gion. Le Gala des grands prix et la promotion de la FĂȘte nationale sont deux outils qui favorisent l’atteinte de cet objectif et l’expression de notre fiertĂ© toute lanaudoise. Promouvoir notre rĂ©gion, signifie Ă©galement ĂȘtre solidaire des causes et des organismes qui visent l’épanouissement global des Lanaudoises et Lanaudois, tels que le Centre Marie-Dupuis, les Centres jeunesse de LanaudiĂšre, Centraide LanaudiĂšre, etc. LA P'TITE HISTOIRE DE LA SNQLLa p’tite histoire de la SNQL La SociĂ©tĂ© nationale des QuĂ©bĂ©coises et QuĂ©bĂ©cois de LanaudiĂšre SNQL trouve son origine au siĂšcle dernier, il y a de cela plus de soixante ans. Si le journaliste et grand patriote Ludger Duvernay fonda la SociĂ©tĂ© Saint-Jean-Baptiste en 1834, il fallut attendre l’annĂ©e 1945 pour qu’une premiĂšre vĂ©ritable section SSJB, c’est-Ă -dire lĂ©galement constituĂ©e, s’implante dans la ville de Joliette. SituĂ©e plus prĂ©cisĂ©ment dans la paroisse CathĂ©drale, la section dĂ©nommĂ©e BarthĂ©lĂ©my-Joliette fut prĂ©sidĂ©e par Raoul Charette pendant deux ans. Puis, en 1947, 13 sections englobant 52 paroisses, dont celle de la CathĂ©drale, se regroupĂšrent pour former la SSJB du diocĂšse de Joliette. 1945 - 1959 Les fondements de l’organisme Le Cercle des philanthropes Sous la prĂ©sidence du Dr Amance J. BohĂ©mier, — qui termina le mandat du Dr Camille A. Roussin —, des pionniers comme RenĂ© Martin et Mgr Omer Valois, ou encore Sylvestre Sylvestre, Albert Lajoie, Émile Laniel, Marcel Sansregret, LĂ©o Clermont et quelques autres nationalistes, fondĂšrent le Cercle des philanthropes en 1956. Cette mĂ©canique financiĂšre Ă  la fois simple et ingĂ©nieuse, basĂ©e sur le principe du Tous pour un », assurait un dĂ©pannage rapide 24 heures Ă  l’occasion d’un deuil. Ainsi, lorsque survenait un dĂ©cĂšs au sein de l’un des noyaux d’adhĂ©rents au Cercle, une indemnisation de 1000 $, constituĂ©e Ă  l’aide des cotisations de 1 $ versĂ©es individuellement par les autres membres, Ă©tait remise Ă  la famille du dĂ©funt. Tout en Ă©tant trĂšs Ă©conomique, ce premier service offert Ă  nos membres leur apportait un soutien apprĂ©ciable. Fort de l’appui des autoritĂ©s religieuses catholiques qui encourageaient les adhĂ©sions — mĂȘme Ă  l’heure du sermon, les dimanches! —, le Cercle des philanthropes gagna progressivement en popularitĂ©. En multipliant ses effectifs, le Cercle accroissait consĂ©quemment les revenus de la SSJB diocĂ©saine de Joliette, satisfaite d’avoir ainsi trouvĂ© une source de financement durable pour ses activitĂ©s. Toutefois, Ă  cette Ă©poque, outre l’organisation de la FĂȘte des Canadiens français et les collectes pour les minoritĂ©s françaises francophones hors QuĂ©bec, les activitĂ©s de la SociĂ©tĂ© Ă©taient encore ponctuelles et plutĂŽt improvisĂ©es, mĂȘme si elles visaient toujours l’objectif global conçu par Ludger Duvernay dĂ©fendre nos droits, nos institutions, et notre langue. RĂ©sumĂ© des dates importantes 1945 Naissance d’une premiĂšre section SSJB Ă  Joliette, dans la paroisse CathĂ©drale. 1947 Formation de la SSJB du diocĂšse de Joliette par le regroupement de 52 paroisses et de 13 sections. 1956 Naissance du Cercle des philanthropes sous l’impulsion des RenĂ© Martin, Mgr Omer Valois, Sylvestre Sylvestre, Albert Lajoie, Marcel Sansregret, LĂ©o Clermont, Émile Laniel et autres. 1957-64 Campagnes pour les minoritĂ©s françaises canadiennes hors QuĂ©bec. 1960 - 1969 L’édification de l’organisme Des structures plus solides et Ă©toffĂ©es En janvier 1960, la crĂ©ation d’un secrĂ©tariat permanent, qui se rĂ©alisa sous la direction de RenĂ© Charette, Ă©tait devenue une nĂ©cessitĂ©. L’équipe des recruteurs du Cercle des philanthropes, nouvellement chapeautĂ©e par l’organisateur Normand Houle, obtint sans tarder des rĂ©sultats spectaculaires qui firent progresser en flĂšche la courbe des effectifs. PortĂ©e par l’élan de ce succĂšs, la SSJB diocĂ©saine de Joliette planifiait dĂ©jĂ  de nombreux projets pour les annĂ©es subsĂ©quentes, Ă©difiant ou consolidant ainsi les structures fondamentales de l’organisme. En premier lieu, plusieurs comitĂ©s virent bientĂŽt le jour, dont celui du PrĂȘt d’honneur. Dans les quatre dĂ©cennies Ă  venir, celui-ci soutiendrait plus de 800 Ă©tudiantes pour 1 million de dollars en prĂȘts, sans compter les milliers de dollars en bourses accordĂ©es Ă  divers groupes du milieu. Pour le prĂ©sident Sylvestre Sylvestre, il importait alors d’encourager les Ă©tudiants, non seulement sous l’aspect financier, mais aussi dans leur fiertĂ© de parler une langue française de qualitĂ©. C’est pourquoi les concours oratoires dans les Ă©coles de la rĂ©gion Ă©taient encouragĂ©s par l’octroi de bourses et de prix. Une tradition qui s’est perpĂ©tuĂ©e jusqu’à ce jour sous diffĂ©rentes formes. Le comitĂ© organisateur de la FĂȘte de la Saint-Jean allait, de son cĂŽtĂ©, prendre beaucoup d’expansion pendant les annĂ©es 1965-66. Étonnamment, le calendrier des festivitĂ©s s’échelonnait alors sur toute une semaine. Parmi les activitĂ©s de la cuvĂ©e 1966 », le Symposium de la sculpture attira l’attention de la tĂ©lĂ©vision de Radio-Canada, et laissa un bel hĂ©ritage d’Ɠuvres Ă  Joliette. Comme on le sait, les cĂ©lĂ©brations du 24 Juin redeviendraient cependant plus modestes par la suite — puisque limitĂ©es Ă  une ou deux journĂ©es —, mais ne seraient pas moins rassembleuses
 Depuis sa fondation, la SociĂ©tĂ© Ă©tait le grand maĂźtre d’Ɠuvre de cette fĂȘte Ă  Joliette, et le demeura fort longtemps, soit jusqu’en 1996 avec un intermĂšde entre 1978 et 1983. Aujourd’hui, elle dĂ©lĂšgue cette responsabilitĂ© Ă  des producteurs locaux, mais veille Ă  la coordination de toutes les activitĂ©s organisĂ©es sur le territoire lanaudois, et participe activement Ă  la production de la FĂȘte nationale rĂ©gionale. Par ailleurs, au cours de cette importante pĂ©riode d’édification que fut la dĂ©cennie 60, notre SociĂ©tĂ© se dirigea vers d’autres transformations majeures. Ainsi, au cours de l’annĂ©e 1966, en plus d’abriter son secrĂ©tariat permanent dans un tout nouvel immeuble construit sur la rue Beaudry, la SociĂ©tĂ© repensa l’une de ses composantes essentielles le Cercle des philanthropes. Celui-ci fut alors actualisĂ© pour devenir le Service d’entraide que nous connaissons aujourd’hui. Pour ce faire, la SSJB diocĂ©saine de Joliette s’affilia Ă  La Sauvegarde, une compagnie d’assurance sur la vie. Notre SociĂ©tĂ© se conformait ainsi aux plus rĂ©centes normes gouvernementales en vigueur dans ce secteur d’activitĂ© Ă©conomique. En outre, elle voyait ses fonds garantis, tout en conservant la gestion de son service financier. Cette nouvelle modalitĂ© de fonctionnement protĂ©geait autant les intĂ©rĂȘts des membres que ceux de la SociĂ©tĂ©, qui avait assumĂ© un risque financier par le passĂ©. Le Service d’entraide ne cesserait d’ailleurs d’ĂȘtre bonifiĂ© par la suite afin que notre produit d’assurance demeure concurrentiel et avantageux pour nos membres. Tout cela se ferait avec l’aide de nouvelles associations La Survivance, puis La Capitale, notre alliĂ©e actuelle. Sur un tout autre plan, depuis le dĂ©but de la dĂ©cennie 60, le comitĂ© d’orientation, notamment sous l’influence de Marcel Masse, suscitait de grandes interrogations politiques. À cette Ă©poque, nos prĂ©curseurs nationalistes Ă©taient encore majoritairement fĂ©dĂ©ralistes. Mais avec l’arrivĂ©e d’un nationalisme d’affirmation quĂ©bĂ©cois qui coĂŻncida avec le dĂ©but de la RĂ©volution tranquille, des Ă©lĂ©ments progressistes allaient se substituer, lentement mais sĂ»rement, Ă  ceux plus conservateurs encore actifs au sein des administrateurs de notre SSJB. RĂ©sumĂ© des dates importantes 1957-64 Campagnes pour les minoritĂ©s françaises canadiennes hors QuĂ©bec. 1960 CrĂ©ation d’un secrĂ©tariat permanent, situĂ© au 336 boulevard Manseau. 1960-61 Fondation du comitĂ© du PrĂȘt d’honneur initiĂ© par Mgr Omer Valois. 1962 La SSJB diocĂ©saine de Joliette s’unit Ă  sa FĂ©dĂ©ration dans la bataille pour la nationalisation du rĂ©seau hydroĂ©lectrique quĂ©bĂ©cois. 1964 L’Association de la Jeunesse canadienne-française dirigĂ©e par Jacques Martin devient la Jeunesse nationaliste canadienne-française prĂ©sidĂ©e par Alain GĂ©nĂ©reux. Une initiative qui se terminera en 1967-68. 1965 La Formule Jarry » appliquĂ©e au PrĂȘt d’honneur permettra dorĂ©navant, grĂące au soutien des caisses Desjardins, de redistribuer 5 fois la somme amassĂ©e pendant les campagnes de financement. 1965-66 Fondation du Conseil des Arts de Joliette. Organisation de trois colloques d’information sur l’amĂ©nagement rĂ©gional Ă©conomique, sur l’éducation et sur les loisirs. 1966 Un important Symposium de la sculpture se tient au Centre-ville de Joliette. CrĂ©ation d’un service d’éducation au sein de la SSJB diocĂ©saine de Joliette. Construction du siĂšge social, au 414 rue Beaudry Nord. 1er octobre En s’associant avec la compagnie La Sauvegarde, le Cercle des philanthropes devient le Service d’entraide, afin d’offrir aux membres une protection vie concurrentielle et conforme aux normes du marchĂ© des assurances. 1967 Participation de la SSJB du diocĂšse de Joliette Ă  la visite historique du GĂ©nĂ©ral de Gaulle pendant l’Expo 67. 1969 La SSJB diocĂ©saine de Joliette se prononce en faveur de la souverainetĂ© du QuĂ©bec. 31 octobre Participation Ă  la grande manifestation contre la Loi 63, qui se dĂ©roule devant la colline Parlementaire Ă  QuĂ©bec. 1969 - 1995 Croissance, luttes et espoirs Nouvelle option politique; nouvelle dĂ©nomination sociale En octobre 1969, les membres rĂ©unis en assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale annuelle, sous la prĂ©sidence de Jacques Mondor, optĂšrent finalement pour la souverainetĂ© du QuĂ©bec. DĂ©sormais, notre philosophie d’action ne se limiterait plus Ă  la revendication ou Ă  la sauvegarde de droits ou de privilĂšges. Nous allions Ă©galement orienter nos interventions afin de favoriser l’épanouissement des Lanaudoises et Lanaudois dans toutes les sphĂšres essentielles de leur quotidien l’éducation, la culture, le travail, les conditions de vie Ă©conomiques et sociales, la politique, etc. DĂšs lors, la SSJB diocĂ©saine de Joliette multiplia ses interrelations avec la communautĂ©, et s’efforça d’y jouer un rĂŽle d’agent de concertation. Pour mieux reflĂ©ter ce repositionnement de sa mission et l’identitĂ© quĂ©bĂ©coise de ses membres, notre organisme choisirait bientĂŽt en 1971 de modifier sa dĂ©nomination sociale pour devenir la SociĂ©tĂ© nationale des QuĂ©bĂ©cois de LanaudiĂšre, puis, quelque vingt ans plus tard, la SociĂ©tĂ© nationale des QuĂ©bĂ©coises et QuĂ©bĂ©cois de LanaudiĂšre SNQL. L’action sociale et Ă©conomique La dĂ©cennie 70, aprĂšs la Crise d’octobre, fut mouvementĂ©e Ă  bien des Ă©gards. Sur le plan socio-Ă©conomique, les nombreuses grĂšves dĂ©clenchĂ©es dans le secteur privĂ© Ă  Joliette mobilisĂšrent la SNQL. En plus d’offrir un soutien technique et moral aux travailleurs, la SNQL sensibilisa la population Ă  ces conflits dans le journal La CriĂ©e, qu’elle fonda en 1973. VĂ©ritable vĂ©hicule d’idĂ©es sur des enjeux importants de la sociĂ©tĂ© quĂ©bĂ©coise, la SNQL utiliserait dorĂ©navant plusieurs outils et mĂ©dias d’information pour amorcer des dĂ©bats ou alimenter la rĂ©flexion des Lanaudoises et Lanaudois confĂ©rences de presse, colloques, mĂ©moires, films, diffusion de messages radiophoniques, soirĂ©es d’information sur diffĂ©rents thĂšmes, sans oublier les diverses publications qui succĂ©dĂšrent Ă  La CriĂ©e aprĂšs 1977 Ton pays, Philanthrope et Il me reste un pays
. C’est Ă©galement Ă  cette pĂ©riode que la SNQL commença Ă  appuyer activement de nombreux organismes ou groupes de dĂ©fense des droits sociaux liĂ©s Ă  des problĂ©matiques prĂ©cises, notamment la pauvretĂ©. La SNQL s’associa alors tout naturellement au mouvement coopĂ©ratif en offrant, par exemple, son soutien au dĂ©marrage de l’entreprise coopĂ©rative alimentaire COOPRIX. Jusqu’au dĂ©but du millĂ©naire, la SNQL s’impliquerait activement dans le dĂ©veloppement rĂ©gional, notamment auprĂšs du Centre local de dĂ©veloppement CLD Joliette, du Sommet Ă©conomique permanent de LanaudiĂšre SEPL, des chambres de commerce de Joliette et Repentigny, de Tourisme LanaudiĂšre, de l’ACEF et de diverses tables de concertation du milieu lanaudois. En outre, comme agente de concertation, la SNQL serait de bien des batailles rĂ©gionales, et apporterait avec conviction sa contribution Ă  celle qui s’échelonnerait de 1982 Ă  1987, et qui accorderait Ă  LanaudiĂšre sa reconnaissance officielle comme rĂ©gion Ă  part entiĂšre. Les luttes linguistiques Sur le front linguistique, la dĂ©cennie 70 apporta aussi de grands dĂ©fis. Entre 1969 et 1973, notre SociĂ©tĂ© s’affilia d’abord Ă  la FĂ©dĂ©ration des SSJB et au Front du QuĂ©bec français, puis au Mouvement QuĂ©bec français MQF, pour alerter l’opinion publique sur les risques d’assimilation associĂ©s au Projet de loi 63, prĂ©sentĂ© par Jean-Jacques Bertrand. Outre la manifestation monstre qui se tint sur la colline Parlementaire le 31 octobre 1969, la SociĂ©tĂ© participa Ă©galement Ă  la premiĂšre action d’éclat mise en Ɠuvre par le MQF une pĂ©tition Ă  la grandeur du QuĂ©bec qui rĂ©colta plus de 20 000 noms dans LanaudiĂšre. La Loi 22 sur les langues officielles imposĂ©e ensuite par le gouvernement de Robert Bourassa, en 1974, souleva cette fois un tollĂ© gĂ©nĂ©ral, autant parmi les francophones que les anglophones. La manifestation tenue devant le bureau de Robert Quenneville le jour de son adoption, et les cloches qui avaient tintĂ© Ă  toutes les Ă©glises de Joliette, n’avaient que sonnĂ© le glas de nos espoirs et annoncĂ© la dĂ©faite de cette bataille. Si la Loi 101 restaura, en 1977, une certaine paix sociale en matiĂšre linguistique au QuĂ©bec, le rĂ©pit ne fut que de courte durĂ©e. En s’associant encore et toujours Ă  ses partenaires habituels, principalement le Mouvement national des QuĂ©bĂ©coises et QuĂ©bĂ©cois MNQ et le MQF, la SNQL allait reprendre le chemin de la contestation dĂšs le dĂ©but de la dĂ©cennie 80 pour dĂ©noncer l’affaiblissement de notre Charte de la langue française. Encore aujourd’hui, et malgrĂ© ses 30 ans d’existence, la Loi 101 se voit toujours contournĂ©e ou menacĂ©e par des batailles juridiques menĂ©es devant la Cour suprĂȘme, mais elle est aussi dĂ©fendue bec et ongles par ses partisans, dont la SNQL
 RĂ©fĂ©rendum jamais deux sans trois? Si la dĂ©cennie 80 nous rĂ©serva quelques dĂ©ceptions sur le plan linguistique, que dire des Ă©motions Ă©prouvĂ©es dans le sillage de la premiĂšre bataille rĂ©fĂ©rendaire? Sous la prĂ©sidence d’Alain GĂ©nĂ©reux, la SNQL qui avait vĂ©cu d’intenses annĂ©es d’espoir depuis l’accession du Parti quĂ©bĂ©cois au pouvoir, en novembre 1976, traversa de longs mois de lassitude aprĂšs cette premiĂšre dĂ©faite au rĂ©fĂ©rendum du 20 mai 1980. Puis, Paulette-MichĂšle HĂ©tu connut, Ă  la prĂ©sidence de la SNQL comme au MNQ, la phase de morositĂ© et de dĂ©sengagement qui s’ensuivit. DĂ©jĂ , cependant, Ă  la fin de son mandat et sous celui de Henri-Paul Picotte, l’équipe de la SNQL avait retroussĂ© ses manches pour reprendre la promotion de la souverainetĂ©. Mais la rĂ©flexion post-rĂ©fĂ©rendaire avait amenĂ© de nouvelles propositions d’action, axĂ©es davantage sur les prĂ©occupations quotidiennes de nos membres. Chose certaine, la nĂ©cessitĂ© de travailler Ă  un projet de sociĂ©tĂ©, Ă©laborĂ© par — et pour — la sociĂ©tĂ© civile quĂ©bĂ©coise, sembla dĂ©sormais la seule option valable pour promouvoir la souverainetĂ©. De toutes ces Ă©nergies dĂ©ployĂ©es alors avec l’espĂ©rance d’un pays Ă  faire naĂźtre, une initiative lanaudoise se distingua et traverserait le temps le Club quĂ©bĂ©cois — aujourd’hui les Soupers de la fiertĂ© quĂ©bĂ©coise —, une tribune exceptionnelle de promotion du nationalisme quĂ©bĂ©cois. À la suite du rapatriement unilatĂ©ral de la Constitution 1982 — qui se fit sans le QuĂ©bec —, et de l’échec de l’Accord du lac Meech 1990, les nĂ©gociations constitutionnelles pendant les annĂ©es 90 renvoyĂšrent aux QuĂ©bĂ©cois l’image navrante d’une impasse. La SNQL, par la voix de ses prĂ©sidents et prĂ©sidentes de l’époque Jacques Racine, Marie-Berthe Lanoix puis Gilbert Boulet, fit connaĂźtre publiquement sa position relativement Ă  ces Ă©vĂ©nements importants pour l’avenir du QuĂ©bec. Étant donnĂ© cette conjoncture politique des plus propices Ă  la rĂ©alisation de la souverainetĂ© du QuĂ©bec, les rĂ©sultats du second rĂ©fĂ©rendum, le 30 octobre 1995, furent d’autant plus affligeants. Mais si la victoire nous Ă©chappa de peu sur le plan national, la rĂ©gion de LanaudiĂšre nous apporta rĂ©confort et consolation avec un non Ă©quivoque 64 % pour le OUI. Et la SNQL fĂ©licita alors ses alliĂ©s issus de la sociĂ©tĂ© civile, notamment les Partenaires pour la souverainetĂ© et les Jeunes souverainistes, pour leur solidaritĂ© et leur persĂ©vĂ©rance. RĂ©sumĂ© des dates importantes 1969 La SSJB diocĂ©saine de Joliette se prononce en faveur de la souverainetĂ© du QuĂ©bec. 31 octobre Participation Ă  la grande manifestation contre la Loi 63, qui se dĂ©roule devant la colline Parlementaire Ă  QuĂ©bec. 1970 Prise de position contre la Loi des mesures de guerre pendant la Crise d’octobre. 1971 La SSJB du diocĂšse de Joliette devient la SociĂ©tĂ© nationale des QuĂ©bĂ©cois SNQ de LanaudiĂšre. 1972-73 PĂ©tition contre la Loi 63 20 000 signatures dans LanaudiĂšre. 1973 Premier organe d’information de la SNQL La CriĂ©e. Suivront plus tard les bulletins Ton pays, Philanthrope et Il me reste un pays
 1973-74 La SNQL joue un rĂŽle d’appui moral et technique auprĂšs des travailleurs en grĂšve de la Canadian Gypsum 20 mois, de la Firestone 10 mois, de la Great Lake Carbon, de la Cie canadienne de papeterie, et durant d’autres conflits qui auront lieu ultĂ©rieurement. 1974 Le 19 octobre Participation Ă  la Grande marche du QuĂ©bec français », Ă  QuĂ©bec, pour marquer notre opposition Ă  la Loi 22. 1975 Colloque sur la coopĂ©ration. CrĂ©ation de la Fondation du PrĂȘt d’honneur une corporation indĂ©pendante et fiduciaire des fonds. 1976 Implication locale active de la SNQL pour promouvoir la pĂ©tition en faveur du français dans l’air » de l’Association des gens de l’air du QuĂ©bec AGAQ. Formation d’un comitĂ© de travail sur le rĂ©seau des bibliothĂšques publiques dans la rĂ©gion de LanaudiĂšre. 1977 1er septembre La SNQL signe un nouveau partenariat d’affaires pour son Service d’entraide avec la compagnie d’assurance La Survivance. Fondation du Club quĂ©bĂ©cois existe encore aujourd’hui sous le vocable les Soupers de la fiertĂ© quĂ©bĂ©coise. DĂ©but de l’appui technique accordĂ© au Festival de LanaudiĂšre. 1978 La SNQL se voit octroyer une concession Loto-QuĂ©bec. Claude Charron, ministre dans le gouvernement LĂ©vesque, instaure le ComitĂ© organisateur de la FĂȘte nationale du QuĂ©bec, retirant de ce fait aux SNQ et SSJB rĂ©gionales la responsabilitĂ© de l’organisation des festivitĂ©s. ConsidĂ©rant cet Ă©tat de choses comme une injustice, la SNQL refusera toute collaboration avec les nouveaux responsables des fĂȘtes entre 1978 et 1983. 1978-79 Soutien au dĂ©marrage du magasin d’alimentation COOPRIX. 1979 DĂ©but de l’organisation de la campagne prĂ©rĂ©fĂ©rendaire en faveur du Oui Ă  un QuĂ©bec souverain. 1980 CrĂ©ation du prix Maximilien-Boucher arts; Gustave Lamarche en est le premier rĂ©cipiendaire. 1981 CrĂ©ation du prix Marcel-Bonin sports remportĂ© Ă  sa premiĂšre annĂ©e par Gilles Villeneuve. 1981-85 Instauration du concours QuĂ©bec Ă  ma mesure » dans les Ă©coles primaires et secondaires de la rĂ©gion, incitant les jeunes Ă  explorer leur environnement, et Ă  dĂ©couvrir ou redĂ©couvrir leur patrimoine et leur histoire. 1982 Inauguration de la RĂ©sidence funĂ©raire de la SNQ de LanaudiĂšre. CrĂ©ation de la MĂ©daille de bronze MNQ. Premier rĂ©cipiendaire dans LanaudiĂšre RenĂ© Charette. CrĂ©ation du prix Raoul-Charette dĂ©veloppement Ă©conomique et du prix Henri-Pichette initiative communautaire; Jean Bergeron et l’ACEF de LanaudiĂšre en sont respectivement les premiers rĂ©cipiendaires. 1982-87 Travail, en concertation avec le milieu, pour la reconnaissance de LanaudiĂšre comme rĂ©gion Ă  part entiĂšre. 1984 Participation aux États gĂ©nĂ©raux du QuĂ©bec organisĂ©s par le MNQ pour rĂ©activer la ferveur souverainiste au sein de la population. AnnĂ©e de fondation de la Maison de la Culture Bonsecours de Joliette; la SNQL est grandement impliquĂ©e dans ce dossier. Un projet de bibliothĂšque devait voir le jour dans la Chapelle Bonsecours afin de sauver celle-ci de la dĂ©molition, ainsi que le vieil hĂŽpital qui devait ĂȘtre rĂ©amĂ©nagĂ© en logement social
 Le MNQ redevient responsable de la coordination de la FĂȘte nationale. La SNQL reprend l’organisation des festivitĂ©s Ă  Joliette et assume la coordination pour les activitĂ©s de toute la rĂ©gion LanaudiĂšre. 1986 Participation Ă  la campagne du MNQ QuĂ©bec, je t’aime en français ». La chapelle Bonsecours flambe
 et entraĂźne avec elle dans les cendres le projet de bibliothĂšque. Celle-ci devra se localiser temporairement au Vieil Arsenal une situation qui subsistera finalement pendant 20 ans. 1988 Instauration du prix Charbonneau-Rioux sciences humaines; le premier laurĂ©at honorĂ© est Christian Roy. CrĂ©ation de la MĂ©daille d’argent du grand Lanaudois ou de la grande Lanaudoise. Louis-Paul Allard en est le premier rĂ©cipiendaire. DĂ©pĂŽt d’un mĂ©moire au MNQ Ă  l’occasion de la tournĂ©e Ça val mal Ă  MontrĂ©al
 et chez vous, comment ça va? » Participation Ă  la manifestation Tout le QuĂ©bec en marche pour le français ». 1989 Participation Ă  une grande marche et Ă  une pĂ©tition payante 1,01 $ pour chaque signature pour dĂ©noncer la Loi 178 qui rĂ©instaurait l’affichage bilingue Ă  l’intĂ©rieur des commerces. 1992 CrĂ©ation du Prix de la langue française Louis-Landry. Évelyne Robidoux et l’école Sainte-Anne de Rawdon reçoivent cette premiĂšre mĂ©daille. La RĂ©sidence funĂ©raire de LanaudiĂšre modification de dĂ©nomination sociale en 1989 emmĂ©nage dans ses nouveaux locaux de la rue Wilfrid Ranger. 1993 La SNQL fĂ©minise sa dĂ©nomination sociale, et devient ainsi la SociĂ©tĂ© nationale des QuĂ©bĂ©coises et QuĂ©bĂ©cois de LanaudiĂšre. Vaste opĂ©ration pour dĂ©noncer la Loi 86 qui permet l’affichage extĂ©rieur autre que le français, une autre atteinte Ă  l’intĂ©gritĂ© de la Loi 101. 1994 Participation aux commissions rĂ©gionales sur l’avenir du QuĂ©bec prĂ©sidĂ©es par Me Louis-Paul Allard. Publication du manifeste Pour une politique globale de la population. ». DĂ©but de la seconde campagne prĂ©rĂ©fĂ©rendaire. 1995 Relance du PrĂȘt d’honneur nouvel accord avec Desjardins. PrĂ©sentation d’un mĂ©moire aux États gĂ©nĂ©raux sur l’éducation L’enseignement du français et de l’histoire». 1995 - 2017 Repli stratĂ©gique Un nĂ©cessaire et stratĂ©gique repli C’est au dĂ©but de la dĂ©cennie 80 que la SNQL atteignit le sommet de ses effectifs, avec plus de 20 000 membres. DĂ©jĂ , en 1978, une diversification des services financiers avait cependant Ă©tĂ© amorcĂ©e avec l’obtention d’une concession Loto-QuĂ©bec. Un long travail rĂ©alisĂ© par un comitĂ© spĂ©cial s’était Ă©galement conclu, en janvier 1982, par l’inauguration de la RĂ©sidence funĂ©raire de la SNQ de LanaudiĂšre. Ainsi avait-on alors cru pouvoir assurer Ă  la SociĂ©tĂ© une stabilitĂ©, sinon une croissance de ses revenus. Mais au mitan de la dĂ©cennie 90, la situation financiĂšre de la SNQL resserra un Ă©tau oppressant. Il ne suffirait dĂ©sormais plus de prĂ©voir l’avenir, mais bien de contrer un sĂ©rieux dĂ©clin des revenus, causĂ© par l’augmentation des dĂ©cĂšs parmi les membres et une dĂ©croissance des effectifs — Ă©galement observable dans toutes les SNQ ou SSJB rĂ©gionales du QuĂ©bec. Des tentatives rĂ©alisĂ©es au cours de cette dĂ©cennie, comme l’instauration d’un service d’assurance privĂ©e en soins de santĂ© et d’aide Ă  domicile ou encore l’ouverture de la Boutique Fleur bleue, n’obtinrent pas les succĂšs escomptĂ©s. La SNQL, qui avait tant aidĂ© les organismes du milieu par le passĂ©, dut alors s’imposer un certain repli stratĂ©gique pour se remettre en selle. Ainsi, les administrateurs des de ce nouveau millĂ©naire avec, Ă  leur tĂȘte, Claire J. Poliquin puis Guy Chevrette, eurent de difficiles dĂ©cisions Ă  prendre, et l’équipe des employĂ©s permanents, des compromis non moins contraignants Ă  faire. Mais la rĂ©ingĂ©nierie de la SNQL allait finalement porter ses fruits. Un retour aux sources En effet, depuis 2004, la SociĂ©tĂ© a recouvrĂ© une bonne santĂ© financiĂšre, mĂȘme si elle doit toujours veiller Ă  ne pas faire d’excĂšs pour conserver ses acquis. Il faudra en effet rester vigilant et crĂ©atif pour stimuler le recrutement de nouveaux membres. Nicole Destrempes et Yvon Blanchet, respectivement directrice et prĂ©sident de notre SociĂ©tĂ©, assurent d’ailleurs que toute l’équipe d’administrateurs et d’employĂ©s de la SNQL use de beaucoup d’imagination pour poursuivre sa mission dans la communautĂ© pendant cette pĂ©riode de restrictions. Avec moins de ressources, il fallait nĂ©cessairement agir diffĂ©remment. Et cette nouvelle approche n’eut pas des effets que sur les bilans comptables. Elle permit vĂ©ritablement Ă  la SNQL de s’interroger Ă  fond sur ses orientations et ses prioritĂ©s. Peut-ĂȘtre la SociĂ©tĂ© s’était-elle un peu trop Ă©loignĂ©e de sa base, des motivations de ses membres? Mais s’il importe aujourd’hui pour le conseil d’administration d’ĂȘtre Ă  l’écoute de la population lanaudoise, et de ne pas ramer Ă  contre-courant de leurs opinions, il n’est pas pour autant question de faire table rase des options et des causes dĂ©fendues par le passĂ©. RĂ©sumĂ© des dates importantes 1996 Implication Ă  la table multisectorielle de la famille LanaudiĂšre. Évaluation d’une possible collaboration avec la Mutuelle française et PĂ©rigord MutualitĂ© pour un projet d’assurance en soins de santĂ© et d’aide Ă  domicile. Boutique Fleur bleue. Tentative d’offrir un nouveau service visant la diversification des moyens d’autofinancement. Fermeture en 1997 Ouverture d’un point de service Ă  Repentigny. 1997-99 L’organisation de la FĂȘte nationale Ă  Joliette n’est plus assumĂ©e par la SNQL, mais bien par Les P’tits Loups Production. La SNQL maintient la coordination de l’ensemble des activitĂ©s dans LanaudiĂšre et collabore activement Ă  la production de la fĂȘte rĂ©gionale. 1998 Organisation de la soirĂ©e de la premiĂšre Ă©dition de la Brunante aux flambeaux, une version hivernale de la FĂȘte nationale. Cette collaboration dans le cadre du Festi-Glace de Joliette sera maintenue dans les annĂ©es subsĂ©quentes. FĂȘte du 50e anniversaire du drapeau quĂ©bĂ©cois. PremiĂšre Ă©dition du concours sur l’histoire nationale du QuĂ©bec. À la fin de cette annĂ©e, la Protection santĂ© est enfin offerte Ă  nos membres, mais devra rapidement ĂȘtre retirĂ©e en raison de la Loi 188 sur la distribution de produits et services financiers, sanctionnĂ©e en juin de cette mĂȘme annĂ©e, et qui nous exclut de ce champ d’intervention. La SNQL continuera cependant d’honorer cette garantie auprĂšs des membres dĂ©jĂ  inscrits. 1999 23 septembre La Capitale, assurance et gestion du patrimoine, aprĂšs le rachat de la Personnelle Vie devient le partenaire d’affaires et fiduciaire des fonds de notre Service d’entraide. RĂ©alisation d’un circuit patrimonial Ă  Joliette, en collaboration avec la Ville de Joliette et le Conseil de dĂ©veloppement rĂ©gional de LanaudiĂšre CRDL. Lancement de deux livres Histoire du CĂ©gep Joliette-De LanaudiĂšre II » LĂ©o-Paul HĂ©bert et Le Tour du Lac » Christian Morissonneau. 2000 Hommage de la Chambre de commerce du Grand Joliette Ă  la SNQL pour le 20e anniversaire des Grands Prix rĂ©gionaux. Lancement du Dictionnaire des auteurs de LanaudiĂšre » RĂ©jean Olivier, maĂźtre d’Ɠuvre de cette Ɠuvre collective. Le Carrefour en fĂȘte organise la FĂȘte nationale Ă  Joliette. 2001 DĂ©but d’une collaboration avec QuĂ©bec-France LanaudiĂšre dans le cadre de la journĂ©e internationale de la francophonie. PrĂ©sentation d’un mĂ©moire Ă  la commission Larose sur la maĂźtrise du français au primaire et l’enseignement des langues secondes au secondaire. 2001-05 Une nouvelle corporation distincte de la SNQL, la Corporation des FĂȘtes de LanaudiĂšre assume l’organisation des activitĂ©s de la FĂȘte nationale pour Joliette. 2002 Collaboration Ă  une exposition sur l’histoire des patriotes, Ă  l’occasion des JournĂ©es de la culture Ă  Joliette et Ă  Terrebonne. 2003 Toujours dans le cadre des JournĂ©es de la culture, auxquelles la SNQL s’associe avec bonheur exposition et parcours sur le thĂšme de la ceinture flĂ©chĂ©e Ă  l’Assomption et lancement du livre De LanaudiĂšre en poĂ©sie», initiĂ© par RĂ©jean Olivier. 2004 Campagne Fiers Ă  100% » pour dĂ©noncer les coupures rĂ©pĂ©tĂ©es dans le budget de la FĂȘte nationale; un mouvement Ă  la grandeur du QuĂ©bec initiĂ© par le MNQ et ses sociĂ©tĂ©s constituantes. PremiĂšre remise du prix reconnaissance MĂ©rite en histoire ». PremiĂšre Ă©dition du concours oratoire Les Haut-Parleurs » organisĂ© conjointement avec la SociĂ©tĂ© de dĂ©veloppement du Centre-ville, dans le cadre des JournĂ©es de la culture. Jonathan Valois remporte les honneurs. Souper de la fiertĂ© dans le cadre de la FrancofĂȘte. Louise Beaudoin a brossĂ© le portrait de la situation du français Ă  travers le monde. 2005 50e assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale annuelle. Moi je connais mon drapeau », une activitĂ© de sensibilisation proposĂ©e aux enfants des CPE de la rĂ©gion en collaboration avec le MNQ Ă  l’occasion de la journĂ©e nationale du drapeau le 21 janvier. Relance du Gala des grands prix aprĂšs 3 ans de pause. 2006 Organisation du concours Le français en tĂȘte
 la musique en fĂȘte!» pour cĂ©lĂ©brer le français pendant cette FrancofĂȘte toute spĂ©ciale puisque Joliette est la Francoville de l’annĂ©e. La Corporation des FĂȘtes populaires de LanaudiĂšre prend la relĂšve pour les cĂ©lĂ©brations de la FĂȘte nationale Ă  Joliette. La SNQL conserve toujours son rĂŽle de coordonnatrice des fĂȘtes pour la rĂ©gion et, plus particuliĂšrement, pour la fĂȘte rĂ©gionale. 2007 Investissement majeur Ă  la RĂ©sidence funĂ©raire de LanaudiĂšre ajout d’une salle de rĂ©ception et d’une chapelle; rĂ©amĂ©nagement des locaux existants. Embauche d’un conseiller en sĂ©curitĂ© financiĂšre au poste de responsable du Service d’entraide. 2008 Nouveau logo de la SNQL et actualisation du site Internet. 2009 Nouveau site Internet de la RĂ©sidence funĂ©raire de LanaudiĂšre. Don de la collection des 850 volumes, des auteurs de la rĂ©gion, Ă  la bibliothĂšque Rina-Lasnier. 2010 Partenaire majeur des Écrits lanaudois» et du Moulin Ă  paroles lanaudois». Conception et crĂ©ation du GĂ©and Lanaudois Louis-Cyr. Contestation du projet de loi 103 65 ans de la SNQL 2015 RĂ©duction des effectifs de la permanence 2016 CommĂ©moration 50 ans de Charles-de-Gaulle 2018 - ... Relance, diversification RĂ©sumĂ© des dates importantes 2018 Investissement majeur pour amĂ©liorer la RĂ©sidence funĂ©raire de LanaudiĂšre ArrivĂ©e de 2 nouvelles concessions Loto-QuĂ©bec Galeries Rive-Nord et Galeries des Laurentides 2019 Vente de la bĂątisse 414 Beaudry Nord et dĂ©mĂ©nagement de la SNQ LanaudiĂšre au 435 boul. Ste-Anne, Joliette, local 204 ArrivĂ©e de 2 nouvelles concessions Loto-QuĂ©bec Wal-Mart Repentigny et Joliette Appuie au projet de loi sur la laĂŻcitĂ© Achat d’une station-service au 634 Beaudry Nord 2020 75e anniversaire de la SNQ LanaudiĂšre Les prĂ©sidents & Directeurs1945 - 2019 Les prĂ©sidents M. J. Raoul Charette 1945-1947 Dr Camille A. Roussin 1947-1955 Dr J. A. BohĂ©mier 1955-1957 M. Albert Lajoie 1957-1958 M. Antonio Montambault 1958-1960 M. Sylvestre Sylvestre 1960-1964 M. Marcel Masse 1964-1966 M. Jean-Paul Morin 1966-1967 M. Mathias Asselin 1967-1968 M. Jacques Mondor 1968-1973 Me Alain GĂ©nĂ©reux 1973-1981 Mme Paulette-MichĂšle HĂ©tu 1981-1984 M. Henri-Paul Picotte 1984-1986 M. Jacques Racine 1986-1991 Mme Marie-Berthe G. Lanoix 1991-1992 M. Gilbert Boulet 1992-1999 Mme Claire J. Poliquin 1999-2004 M. Guy Chevrette 2004-2005 M. Yvon Blanchet 2005 – 2013 1960 - 2019 Les directeurs M. RenĂ© Charette 1960-1967, 1973-2002 Jean-Paul Morin 1967-1973 Mme Nicole Destrempes 2002-2018 Équipe La SNQ de LanaudiĂšre est un organisme sans but lucratif, qui est gĂ©rĂ© et dirigĂ© avec rigueur, mais aussi avec souplesse et ouverture. Sa structure se scinde en deux paliers oĂč se dĂ©partagent les responsabilitĂ©s et les dĂ©cisions le conseil d’administration et la permanence. Conseil d'administration Le conseil d’administration rĂ©unit 4 administrateurs et 1 prĂ©sident Ă©lus par les membres lors de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale annuelle. Globalement, les rĂŽles du sont les suivants Proposer les grandes orientations d’action; DĂ©terminer les prioritĂ©s budgĂ©taires; Et dĂ©cider des rĂ©cipiendaires des grands prix. M. Roger Gaudet PrĂ©sident M. Pascal Parent Vice-PrĂ©sident M. Robert Jobin SecrĂ©taire – trĂ©sorier Permanence La permanence est, pour sa part, composĂ©e de 3 employĂ©s rĂ©guliers et d’une direction gĂ©nĂ©rale nommĂ©e par le conseil d’administration. Ensemble, ils travaillent activement À la bonne gestion des services offerts aux membres et Ă  la population; À la coordination des festivitĂ©s de la FĂȘte nationale dans LanaudiĂšre; Et Ă  l’élaboration et Ă  la mise en place d’activitĂ©s visant l’atteinte des missions de la SNQL. RĂ©unissant leurs compĂ©tences et leurs champs d’action spĂ©cifiques et complĂ©mentaires, les administrateurs et employĂ©s salariĂ©s de la SNQL forment une Ă©quipe solidaire et efficace. Mathieu LĂ©pine Directeur gĂ©nĂ©ral Mathieu LĂ©pine Directeur gĂ©nĂ©ral Cathy Leduc Adjointe Ă  la direction JosĂ©e Chevalier Tech. en informatique et en administration ï»żFrom Wikimedia Commons, the free media repository Jump to navigation Jump to searchFrançais Logos de MontrĂ©al Information[edit] Français Le logo de la Ville de MontrĂ©al, exposĂ© au FichierLogo ne peut pas ĂȘtre transfĂ©rĂ© sur Wikimedia Commons pour raison de copyright. English The logo of the City of MontrĂ©al, shown on FileCity of MontrĂ©al cannot be transferred on Wikimedia Commons because of copyright. Subcategories This category has the following 5 subcategories, out of 5 total. When you come for a visit, you’ll find friendly agents at easily accessible points in central MontrĂ©al, all ready to assist you in making your visit the greatest and most memorable trip ever. Official brochures Official Tourist Guide This is your tourist guide to living like a local, with cool businesses, landmarks and attractions. Official Tourist Map You'll find everything you need to experience the city of joie de vivre, neighbourhood by neighbourhood in this tourist map. Tourist Welcome Office in Old MontrĂ©al Tourism information about MontrĂ©al. Tourist bus and transit fares and Passeport MTL. 174 Notre-Dame Street East Metro Champ-de Mars May 1 to June 15, 10 to 6 June 16 to August 31, 9 to 7 September 1 to October 31, 10 to 6 November 1 to April 30, Thursday to Monday, 10 to 6 closed from December 24 to January 3. Email © Tourisme MontrĂ©al - Marie Deschene Mobile Tourist Welcome Office The Mobile Tourism Services Team scours the central districts on foot or on an electric scooter. May 1 to September 30 Daily, 10 to 6 MontrĂ©al Professional Tourist Guides Association The MontrĂ©al Professional Tourist Guide Association APGT is an NPO representing more than 150 tourist guides, graduates of the AEC Tourist Guide program of the Institut de tourisme et d’hĂŽtellerie du QuĂ©bec ITHQ and holders of a license to the City of MontrĂ©al. Its main mission is to represent its members with the various stakeholders in the MontrĂ©al, QuĂ©bec and international tourism community. The APGT also offers professional development and networking activities to its members in addition to supervising them using a code of ethics and liability insurance coverage. Website

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